Nos revendications

Fidèles aux batailles menées par les travailleuses et travailleurs pour défendre leurs revendications légitimes, les élues et les élus CGT dans les Comités techniques continueront à travailler collectivement et dans le respect des principes de la CGT, à défendre, en toute indépendance :

  • Un travail dans un environnement permettant à chacun de se construire et de progresser.
  • L’amélioration des conditions de travail de tous les personnels, avec des bâtiments sains et sécurisés, des postes de travail adaptés ou aménagés, des outils efficaces en lien avec le travail réel, que ce soit pour l’enseignement, la recherche ou les services, une restauration de qualité à un tarif accessible, une action sociale et une médecine de prévention dignes de ce nom et enfin le respect de notre dignité au travail.
  • Des collectifs de travail où les personnels sont informés et écoutés sur l’organisation du travail pour mener à bien leurs missions.
  • Une véritable reconnaissance des qualifications des personnels.
  • La consolidation et l’amélioration du statut de la Fonction Publique d’État des personnels et des statuts particuliers en refusant la politique d’individualisation des carrières et des salaires et la gestion locale des personnels qui détruisent nos garanties collectives.
  • Une véritable évolution de carrière avec plus de postes de titulaires offerts par promotions et par concours internes.
  • Une révision en profondeur de la grille des salaires afin de combler la perte de 15 % de notre pouvoir d’achat depuis 2000 d’une part et de redonner un sens à l’évolution de carrière avec la garantie pour chaque agent de doubler son salaire réel entre le recrutement et la pension d’autre part.
  • Une revalorisation des salaires avec, augmentation significative du point d’indice et l’abandon de l’individualisation des rémunérations (primes au «mérite» et à la performance, RIFSEEP).
  • L’intégration des primes aux traitements et salaires.
  • Une véritable politique offensive en matière d’égalité salariale et conditions de travail des femmes, visant à obtenir les mêmes progressions de carrière, les mêmes traitements, les mêmes droits.
  • La mise en œuvre d’une véritable action sociale, des prestations dignes de ce nom
  • Le renforcement des garanties statutaires et de l’égalité de traitement (mutation, détachement, carrière) pour tous les agents.
  • L’abandon des politiques de mobilité imposée et la défense du droit à la mutation pour tous les personnels.
  • L’arrêt des politiques de fusions de bibliothèques universitaires et inter-établissements, de l’extension des plages horaires avec notamment l’ouverture le dimanche…
  • Le maintien d’un cadre national de gestion des carrières pour garantir la transparence et l’équité du traitement ainsi que l’indépendance de tous/toutes,
  • L’annulation des mesures de RGPP, MAPAM, des suppressions, gels et report de postes de fonctionnaires.
  • Un plan ambitieux de création d’emplois de titulaires pour résorber la précarité et répondre aux besoins du service public d’ESR à contrario de la restriction d’accès à l’enseignement supérieur induite par les réformes successives (LRU, RCE, Loi ORE).
  • La création au budget de l’État de tous les postes nécessaires à la titularisation de tous les personnels contractuels (BIATSS ou enseignants), et dans cette attente, le maintien en poste de ces agents par renouvellement de leur contrat en CDI.
  • Le respect du fonctionnement démocratique des instances et en premier lieu le maintien du CHSCT.
  • Un départ en retraite à un âge décent, avec une retraite décente. Non à la retraite par point ! Le maintien du code des pensions civiles et militaires de l’État, et du calcul sur les 6 derniers mois de traitement.
  • Le maintien d’un Service Public national d’enseignement Supérieur et de recherche, de toutes les disciplines scientifiques, de tous les services et unités de recherche et d’enseignement ; des formations validées par des diplômes nationaux garantissant l’égalité d’accès et de reconnaissance des qualifications sur l’ensemble du territoire.

La CGT FERC Sup défend depuis toujours, sans relâche, les différents statuts de fonctionnaires de l’État dans le Service public d’Enseignement supérieur et de la Recherche, avec la réaffirmation du concours comme règle de base du recrutement dans la Fonction publique et le maintien de leurs garanties statutaires à gestion nationale ainsi que le cadre général de leur travail dans les établissements. Elle défend les agents contractuels pour leur garantir des conditions de travail et d’emploi satisfaisantes et la titularisation comme objectifs.

Nous ne voulons pas des restructurations,
de la concurrence ni de la sélection.

Nous voulons des postes et des crédits récurrents
pour améliorer les conditions de travail et d’études !

La CGT FERC Sup aux élections professionnelles de décembre 2018

CGT • Élections professionnelles 2018

Décembre 2018
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